15/06/2023 - Chiffre d'affaire - MIDI2 - SCPI Metronome


chiffre d affaire Midi2i

Midi 2i, qui a réalisé un volume de transactions de plus de 234 M€ sur l’année 2022, se positionne particulièrement sur le marché des régions. Historiquement implantée en Occitanie et plus précisément en Midi-Pyrénées, la société de gestion s’étend depuis de nombreuses années sur l’ensemble du territoire français avec un fort rayonnement dans les grandes métropoles régionales telles que Lyon, Nantes, Lille ou encore Bordeaux. S’appuyant sur son appartenance au groupe BPCE, Midi 2i présente des « ancrages régionaux puissants auprès dorénavant de 12 régions métropolitaines », explique-t-elle.

« Même si l’attrait de la capitale pour l’immobilier d’entreprise reste indéniable, le marché s’ouvre de plus en plus sur l’ensemble du territoire national », indique Jean-Luc Barthet, président de Midi 2i. « On estime que la dynamique s’inscrit clairement dans les régions. Pour l’anecdote, le Covid n’a fait qu’accentuer la tendance. En effet, les régions ont représenté 43 % de la demande placée au niveau national en 2022 contre 29 % il y a dix ans selon JLL. Cela conforte notre choix stratégique d’investir les métropoles, grâce à notre connaissance fine des écosystèmes régionaux. Nous accompagnons nos clients et les acteurs locaux au service du développement de leur territoire et avons à cœur d’anticiper les tendances du marché immobilier professionnel en tenant compte des nouveaux usages. »

S’adapter aux nouvelles attentes sociétales et environnementales

Par ailleurs, le président de Midi 2i souligne qu’au-delà de l’emplacement, d’autres éléments entrent dorénavant en compte concernant l’attrait d’un actif immobilier tertiaire. Impact environnemental, usage… le secteur de l’immobilier d’entreprise doit « s’adapter aux nouvelles attentes sociétales et environnementales », assure-t-il.

« Dans l’immobilier tertiaire, nous observons des tendances similaires au marché des particuliers avec le besoin de créer de grands espaces dans lesquels le bien-être devient une dominante, avec notamment des espaces d’échanges et de convivialité importants », rapporte Jean-Luc Barthet. « À l’inverse, les bureaux doivent quant à eux être davantage modulables, en fonction des besoins d’espaces qui doivent s’adapter à la mise en place de systèmes de télétravail et de travail hybride. Nos investissements ne se limitent ainsi plus au seul nombre de mètres carrés, mais on parle plutôt de mètres cubes et d’usage du bâtiment. Les nouveaux immeubles de bureaux doivent ainsi concilier performance sur le plan écologique et augmentation du bien-être perçu. »

Pour autant, Jean-Luc Barthet estime que l’emplacement reste « primordial ». « Les immeubles de bureaux doivent nécessairement être toujours mieux placés pour répondre aux attentes des salariés qui souhaitent limiter leurs temps de déplacement, tant pour des raisons d’organisation personnelle que pour leur volonté de limiter l’impact environnemental lié aux transports. »

Voir la fiche SCPI Metronome